Les principes de l'universalisme

Tout peuple qui choisit l'universalisme comme idéal et comme modèle de société se tourne résolument vers la modernité, mais pas n'importe laquelle. Son adoption illustre le stade le plus avancé de la modernité. Car, d'après l'Ingénierie des sciences sociales, l'universalisme fait partie d'un ces rares modèles de société portant le statut de modernité anthropologique. Ce type de modernité coïncide avec ce que l'Ingénierie de sciences sociales appelle Civilisation en Or. Car, dans un modèle universaliste, tout raisonnement ou toute production intellectuelle est placé impérativement sous le contrôle de la morale. En d'autres termes, toute idée induisant des comportements spécifiques passe préalablement par le filtre de la morale (voir Tack Guy Rostin, L'identité biologique de la raison, Tome 3, coll. Ingénierie des sciences sociales). C'est le modèle par excellence démontrant que ladite société a réussi à apprivoiser le déterminisme biologique.

Cependant, l'universalisme étant postérieur au déterminisme biologique, son adoption est le fruit de la mise en oeuvre d'un pack comprenant l'institutionnel, le psychologique

L'universalisme illustrant le stade le plus avancé de la modernité, son adoption ne peut reposer que sur un modèle de modernité dit archaïque (voir L'identité biologique de la raison, Tome 3). En d'autres termes, le modèle de l'universalisme remplace un autre modèle qui, par l'adoption de cet idéal, devient archaïque. Par conséquent, l'adoption de l'universalisme passe nécessairement par la double mécanique de déconstruction et reconstruction structurelles. Insistons bien sur le fait que le passage par cette double mécanique est incontournable. C'est la phase la plus sensible qui permet aux principes de l'universalisme de s'appliquer dans toute leur fluidité et sans le moindre écueil possible. La déconstruction ne concerne pas la dissolution de l'identité du peuple en question, mais une réorganisation des sphères institutionnelle, sociétale et psychologique afin de laisser l'idéal universaliste s'installer et de s'exprimer dans sa pleine mesure.

  • Du point de vue institutionnelle, c'est la définition d'un nouveau cadre traduisant l'instauration de l'universalisme et favorisant sa mise en œuvre pleine et entière. Ce cadre donne toute sa force à l'application des principes de cet idéal sans l'ombre d'une partialité.
  • Du point de vue psychologique, un peuple qui adopte l'universalisme doit être préparé à perdre de nombreux privilèges. Ce sont essentiellement des privilèges archaïques. Perdre ces privilèges archaïques c'est évoluer vers la modernité anthropologique illustrant le stade où l'individu se domine lui-même. C'est-à-dire empêcher l'injection dans la conscience des caractéristiques corpo-centrées (égoïsme, convoitise, orgueil, impatience, avidité, etc.) par la dynamique de l'inconscience, mécanique induite par le déterminisme biologique. C'est donc une transformation psychologique qui permet à chaque individu de ce peuple de faire de la place à tout autre individu dans toute sa différence. Précisément, c'est faire une place à l'autre dans le respect naturel ou spontané des principes d'égalité et de liberté. C'est avoir des prédispositions spontanée à laisser l'autre s'approprier aussi la nation et y vivre avec toutes ses différences suivant les principes de base de l'universalisme, dans le cadre défini par l'institutionnel. A noter que ce travail psychologique passe par une compréhension de l'Être humain fondée sur le déterminisme biologique.
  • Du point de vue sociétale, .l'institutionnel doit impérativement préciser si...

Puisque l'universalisme n'est pas naturel, son instauration passe impérativement par une double mécanique de déconstruction et reconstruction.

Rappelons que l'universalisme n'est absolument pas compatible avec la prééminence d'un particularisme sur d'autres. L'un de ses principes majeurs est donc l'égalité. L'imposition d'un particularisme est contraire aux principes d'égalité. La déconstruction, qui n'est pas la dissolution ou l'amoindrissement des valeurs d'un peuple, vise alors à éliminer cette prééminence et construire les fondements de l'égalité sur base de compromis et de consensus.

L'on ne peut pas détacher un individu de son Histoire, de ses valeurs, de ses tendances, etc.. L'imposer à le faire c'est violer le principe de liberté.


Les principes de l'universalisme

Puisque l'universalisme n'est pas naturel, son instauration passe impérativement par une déconstruction et une reconstruction. Rappelons que l'universalisme n'est absolument pas compatible avec la prééminence d'un particularisme sur d'autres. L'un de ses principes majeurs est donc l'égalité. L'imposition d'un particularisme est contraire aux principes d'égalité. La déconstruction, qui n'est pas la dissolution ou l'amoindrissement des valeurs d'un peuple, vise alors à éliminer cette prééminence et construire les fondements de l'égalité sur base de compromis et de consensus. 

L'on ne peut pas détacher un individu de son Histoire, de ses valeurs, de ses tendances, etc.. L'imposer à le faire c'est violer le principe de liberté. 


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